27.10.2014 la caoudiere (foret de belesta, ariege)
Profondeur
totale : -150 mètres
PROFONDEUR
ATTEINTE :
TEMPS
PASSE SOUS TERRE : 4h30
PERSONNES PRESENTES :
marion,
bastien et moi
DESCRIPTION
DE LA SORTIE :
J’ai équipé le puit d’entrée, le P5 et le P10. Pour l’entrée, j’ai utilisé un arbre en amarrage naturel et deux points avec tête de mickey. C’était joli !
Ensuite, j’ai équipé le P5, mon mickey
ressemblait à un mickey mais pourtant cela n’en était pas un car il avait que
deux cordes au lieu de trois en dessous, bizarre….du coup je l’ai refait sauf
qu’erreur de ma part, j’ai oublié de visser les mousquetons, aie !
Au fractio suivant de nouveau je me trompe sur
le mickey, du coup c’est Marion qui le refait derrière moi. Ensuite passage
étroit sans trop de difficulté pour équiper la main courante, sur les
conseils de Bastien je suis passée les
pieds en avant sur le dos et j’ai finalisé ma main courante avec un mickey pour
démarrer le P10.
Dans cette cavité j’apprends ce qu’est un
goujon. De même je sais depuis peu distinguer les plaquettes vrillées et
coudées et leur utilité.
Ensuite je donne le relai à Marion pour
l’équipement. La cavité est pas trop humide, du coup je sens encore mes pieds
arrivée en bas. Après un pique-nique nous repartons. C’est moi qui pars la
dernière puisque je déséquipe la partie que Marion a équipé. Aucune difficulté
sauf que je galère pour défaire les nœuds, en particulier les mickey.
Décidément les nœuds ce n’est pas mon truc !
Le passage étroit à remonter avec un kit est
plutôt fatiguant, j’ai poussé un gros cri pour sortir ! Contente d’arrivée
en haut avec ce beau soleil, j’étais plutôt fatiguée !
Description 2ème : j’ai pris le
relais de l’équipement quand Stéphanie a terminé d’équiper le P10. J’entame
donc par le P28 avec notamment l’utilisation d’un goujon que je ne connaissais
pas. Au passage, le temps d’être parfaitement concentrée, attention à bien
refaire la clé au « fractio » lorsque l’on applique « la technique à
Papy» vis-à-vis de l’élasticité de la corde. Une petite conversion est
nécessaire en milieu du puits : j’ai raté l’AN. Après l’avoir mis en place
(et doublé !! sur les conseils de Bastien), je descends jusqu’à la base.
« Liiiibre Bastien ». Je poursuis avec un petit ressaut (non équipé)
à puis enchaîne avec le P18 qui paraît bien noir avant de s’y engager. Les
spits sont assez évidents (en plus d’une topo sympa). Tout le monde suit et
nous voilà tous les 3 au niveau d’une première salle. C’est parti pour un peu
de balade, on passe une main courante en fixe et arrivons dans une très grande
salle, assez concrétionnée, avec un joli petit actif. Pause repas animé par les
énigmes de Bastien et les astuces « aromatiques » de Stéphanie.
Aujourd’hui nous devons rentrer tôt, pas le
temps d’aller crapahuter pour aller voir l’amont.
A la remontée, Stéphanie déséquipe ce que j’ai
équipé et inversement. Cela s’enchaîne bien. On a même un peu de musique pour
le maintien de la motivation ! A 15h30, nous étions tous dehors, au
soleil ! Direction le gîte où Stéphanie et moi plantons notre premier
spit, toujours guidées par Bastien (parfois peu indulgent face à nos techniques
« singulières »).
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